"Alarm Clocks" de Robyn Orlin & Camille aux Nuits de Fourvière – ARTE Concert

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[FR] Alarm Clocks est un spectacle né sous l’impulsion de Philharmonie de Paris, de la Biennale de la danse et des Nuits de Fourvière. C’est ainsi dans le théâtre antique de Fourvière que nous assistons à sa création. Là, nous découvrons d’abord une Camille emmitouflée dans un immense patchwork synthétique. Anoraks, sacs, étoffes techniques… cette étrange tenue se transforme au fil du spectacle en décors puis en un véritable continent de matières plastiques. Le ton est donné : avec Alarm Clocks, Robyn Orlin associe poésie et prise de conscience écologique.

Pour Alarm Clocks, Camille reprend a capella certaines de ses chansons liées à l’élément aqueux : “Jolie Bruine”, “Piscine”, “Wet Boy”… A ceci, elle ajoute des reprises empruntées à Anne Sylvestre, Garbage ou encore Randy Newman. La chanteuse n’est pas seule sur scène : elle est accompagnée par le truchement d’un écran par le chœur sud-africain Phuphuma Love Minus – grand représentants de l’isicathamiya, tradition chorale née au XXème siècle suite à l’exode rurale de communautés zoulous.

Spectacle capté le 2 juin 2021 aux Nuits de Fourvière, Lyon.

Photo © La Bâtie-Festival de Genève – Mehdi Benkler

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Alarm Clocks wurde zwar von der Philharmonie de Paris in die Wege geleitet, wird aber im antiken Theater von Fourvière aufgeführt. Zu Beginn erscheint Camille, dick eingehüllt in ein gigantisches Flickwerk aus synthetischen Stoffen, Anoraks, Säcken, Werkstoffen etc. Im Laufe der Aufführung verwandelt sich das seltsame Kleidungsstück zunächst in eine Kulisse und schließlich in einen wahren Kontinent aus Plastik. Kein Raum für Missverständnisse: Alarm Clocks verbindet Poesie mit ökologischem Bewusstsein.

Für Alarm Clocks covert Camille a capella sowohl eigene Lieder, die sich thematisch mit Wasser befassen (wie „Jolie Bruine“, „Piscine“ und „Wet Boy“) als auch Songs von Anne Sylvestre, Garbage und Randy Newman. Auf der Bühne wird die Sängerin von Phuphuma Love Minus begleitet: Der südafrikanische Chor führt die Gesangstradition Isicathamiya fort, die im 20. Jahrhundert als Folge der Landflucht der Zulu-Bevölkerung entstand.

Mitschnitt vom 2. Juni 2021 bei den Nuits de Fourvière, Lyon.

Foto © La Bâtie-Festival de Genève – Mehdi Benkler

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